2013/11/30

Ils étaient sept…

Oui, « ils ils étaient sept qu'Altaïr avait délégués dans le temps. Sept, entraînés  à toutes les formes de combat, porteurs de toutes les armes existantes, virtuellement invincibles »…


Ça, c'est ce que raconte le début du prière d'insérer du magnifique roman de Gérard Klein, Le temps n'a pas d'odeur (Présence du futur, n° 63), le tout premier roman de SF que j'ai lu et qui m'a sitôt saisi et fasciné, au point de me m'élancer sur d'autres de la collection, puis vite ailleurs, avide…

Et ce soir, pareil, ni tout à fait les mêmes, ni tout à fait d'autres, nous nous rassemblâmes là, dans la frisquouille vite réchauffée par notre rencontre A[N]PéRissime. Pas si nombreux, mais grosso modo les piliers parisiens (manquaient Jean-Jacques, Rémy, André Breton, qui d'autre ?)

Bruno, le premier, avec sa mine affûtée de renard amusé, puis le chef Stéphane — toujours comme un grand ourson craintif et défiant —, et longtemps nous fûmes à deviser tous les trois des solutions alternatives à MediaFire, avant que ne déboulent le malicieux Jean-Noël, l'imprévisible captivant Nessie et puis le jovial Laurent Duval armé entre autres de sa KP 18 (e de bizarres trucs croustillants épicés) et enfin, hourrah ! le si imprévisible Stéphane-René, toujours muni de kir à volonté.

Après moults échanges verbaux et numériques, dégustations liquides et solides, l'ami Jean est arrivé par hasard dans notre bazar et tout n'en est allé que mieux — s'il était possible.

Je vous passe hélas les détails, mais Laurent Nadot nous a permis entre autres de récupérer les épisodes stupidement manquants dans les Nuits actuelles des séries Woodstock et Hugo.

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