Une des hypothèses probables de la création du pseudonyme de Voltaire est que l'écrivain, fils de François Arouet, a anagrammisé l'abréviation de « Arouet Le Jeune », soit AROUET L. J., en usant de la licence autorisée par l'écriture latine, où U = V et J = I : une anagramme de AROVETLI est en effet VOLTAIRE.
À Paris, sur le boulevard qui lui rend hommage, est sise certaine librairie à une adresse assez caractéristique puisque ce numéro de l'artère est un nombre composé de trois chiffres dont le premier ôté du second donne le troisième et, en y adjoignant à droite un quatrième chiffre qui est la moitié du troisième, on obtient le titre du roman d'un écrivain anglais dont l'énoncé phonétique du patronyme (lui-même un pseudonyme, ailleurs) évoque précisément l'origine de l'anagramme précitée — sans tenir compte cette fois de la licence latiniste.
Quel est cet écrivain, quel est ce roman, quelle est cette librairie, et pourquoi ?
Pas facile ta devinette, pour l'instant il n'y a aucune réponse.
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